Google se fait (encore) sa pub pour Google +

Des millions d’internautes de part le monde visitent chaque jour la page d’accueil Google. Ainsi cela fait d’elle une vitrine publicitaire de choix !
Si la politique du groupe à ce sujet est claire, c’est à dire avoir une page la plus épurée possible et sans encombrements inutiles pour l’utilisateurs, il arrive de plus en plus souvent que Google s’en serve pour faire la promotion de ses propres produits. Lorsqu’on sait qu’un quart de la planète va tomber dessus, pourquoi s’en priver ?
Ce fut d’abord le cas avec son navigateur Chrome (« pub » toujours présente lorsqu’on accède à google.com avec un autre navigateur d’ailleurs), puis pour les chefs de file des téléphones sous Android (les HTC Magic et Nexus notamment), ou encore plus récemment pour son service d’offre promotionnelles Google Offers (similaire à Groupon). Dans tout ça, rappelons quand même que Google se sert aussi de sa page d’accueil pour des causes plus noble comme lorsqu’il prévenait le monde entier du terrible séisme qui a frapper le Japon en Mars dernier.
Il y a une semaine, c’était le tout dernier réseau social de la firme qui avait droit à son moment de gloire. En effet pour marquer l’ouverture de Google+, lorsque vous accédiez à google.com une grosse flèche bleue se dessinait sur votre écran et vous montrer où cliquer afin de s’y inscrire. Dans la même optique de promotion, mais somme tout un peu plus discret, Google vous propose aujourd’hui de participer ce soir à minuit (heure française) à une vidéo bulle avec le groupe des Blacks Eyed Peas.
Cette « Bulles » est en fait un outil pour la visioconférence. Point fort de Google+ face à Facebook (qui travail en ce moment même avec Skype pour contrer ça), elles permettaient jusqu’à 9 personnes de discuter ensemble via leur Webcame. Depuis quelques jours, cet outil s’est étoffé d’autres fonctionnalités dont celle de permettre la retransmission en direct d’une vidéo bulle à un nombre illimités de visionneurs.
Ainsi, et comme dis plus haut, Google a choisit de marquer le coup en invitant le groupe des Blacks Eyed Peas. Alors que ce soit pour elles ou pour voir ce que donne les vidéo bulles avec des milliers (millions ?) de spectateurs, ne manquez pas le rendez vous de ce soir ! :p

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La nouvelle interface de Google étendue à d’autres pays

Il y a un peu plus de deux mois Google changeait considérablement l’interface graphique de sa page d’accueil (voir notre article), mais uniquement aux Etats Unis. Aujourd’hui, ce lifting s’applique à de nombreux autres sites du groupe, mais pas à tous. En effet, alors que la plupart des domaines Google bénéficient de cette mise à jour, les pays Africains et Sud-Américain ne sont quant à eux pas concernés.

Cette refonte ne s’applique pas non plus à tous les services Google comme aux USA, mais uniquement à la page d’accueil du moteur de recherche et à Google Images. Le service dont l’interface a été le plus retravaillée est Gmail, la messagerie électronique Google, comme le montre la capture d’écran ci dessous.
Après Google Images (voir notre article) et Google Search, la firme de Mountain View continue donc à étendre petit à petit sa mise à jour graphique vers ses sites, autres que ceux des Etats Unis.

La nouvelle interface de Gmail
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Google souhaite ses meilleurs voeux au Prince William et à Catherine Middleton

Comme à son habite, Google change le logo de sa page d’accueil à l’occasion de certains jours spéciaux, comme les fêtes nationales, les anniversaires d’entités renommées ou encore les évènements historiques.


Aujourd’hui, c’est bel et bien un évènement historique auquel des millions, voir des milliards, de personnes sont conviées à assister. En effet, en ce Vendredi 29 Avril 2011, le Prince William (surement futur héritier de la couronne d’Angleterre) ainsi que la petite fille de minier Catherine Middletone se disent enfin « Oui » après dix ans de vie commune. C’est 19 000 invités qui sont attendus à la réception, et pas moins de 2 milliards de personnes devant leur télévision !! Je suis en ce moment même, pendant que je vous écris ces lignes, en train de suivre les évènements, et c’est on ne peut moins… Royal ! En tous cas, Google n’a pas manqué de souhaiter ses meilleurs voeux à la famille royale d’Angleterre, à sa manière comme d’habitude !

Premièrement, les internautes Anglais (uniquement Anglais, pas Américains ni Australiens) ont aujourd’hui droit à un sympathique Doodle représentant le carrosse royale en train de parcourir les rues de Londres, toutes en fête. Mais bien plus loin que cette simple attention, la firme de Mountain View leur rend aussi hommage à travers son moteur de recherche. Effectivement, si vous tapez une requête liée au fameux mariage (comme « mariage royal »; « mariage prince William »; etc) Google vous affiche un petit message à coté de deux anneaux entrelacés, symbole du mariage qui vous envois vers une chaine YouTube d’où l’on peut suivre en direct l’intégralité des évènements. Depuis cette chaîne, on trouve également des informations sur le parcours du carrosse et sur les différents lieux visités, des messages adressés à la famille royale et bien d’autres choses !

Liens vers la chaîne YouTube du mariage :  http://www.youtube.com/theroyalchannel

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Du nouveau pour Google Images

Alors qu’elle était déjà disponible depuis fin Juillet 2010 sur la version Américaine du moteur de recherche, la nouvelle interface de Google Images arrive dès à présent sur la version Française du site !
Comme le prouve le récent changement de le look du moteur de recherche de Mountain View (voir notre article), ou encore l’amélioration de l’interface utilisateur sous Android 2.3 Gingerbread, Google mise apparemment de plus en plus sur l’ergonomie de ses produits pour assurer la continuité de leur succès.
Cette nouvelle interface remplace naturellement l’ancienne qui commençait à se faire un peu vieillotte. Dans l’ensemble peu de choses changent, la barre de navigation du haut reste inchangée et les options de recherche sur le panneau latéral gauche ne changent pas non plus.

Le principal changement réside dans le nombre d’images affichées par page, et la façon dont ces dernières sont organisées :
  • Affichage de 1 000 images par page (contre une vingtaine auparavant)
  • Les images ne se chargent qu’au fur et à mesure que l’on parcoure la page
  • Les informations relatives à une image n’apparaissent plus que si on survole la dite image avec son curseur
A noter qu’elle ne semble pas encore être opérationnelle sur tous les navigateurs ! En effet, alors que Google Chrome (forcement), Internet Explorer, Safari et Mozilla Firefox l’affichent impeccablement et sans aucun soucis, Opera quant à lui affiche toujours l’ancienne interface de Google Images… Pour ceux qui possède le navigateur Opera sur leur ordi, dites moi si ça marche chez vous !
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Google modifie encore son algorithme !

Google vient d’annoncer qu’il avait, encore une fois, modifier son algorithme afin d’offrir aux utilisateurs de meilleures réponses à leurs requêtes. En effet, il y a moins d’un mois la firme de Mountain View avait déjà modifié (tant bien que mal) son moteur de recherche afin de faire disparaître de la saisie automatique certains termes liés aux téléchargement illégal (voir notre article). Cette fois ci, Google est encore allé plus loin !

Après le téléchargement illégal, ce sont cette fois ci les « fermes à contenus » qui sont ciblées. Ces sites qui publient un très grands nombre d’articles, souvent de mauvaise qualité, et ce uniquement dans le but d’attirer un maximum de trafic vers leur site. Ces sites se basent sur les requêtes des internautes tapées dans les moteurs de recherches pour produire des contenu adaptés et attirer ainsi encore plus de trafic; le tout étant systématiquement lourdement financé par de la publicité.
Ces mêmes fermes nuisent beaucoup à la pertinence du moteur de recherche de Google, qui se justifie sur le blog officiel de la firme :

« Notre objectif est simple: donner aux gens les réponses les plus pertinentes à leurs questions le plus rapidement possible. Cela nécessite une amélioration constante de nos algorithmes, car de nouveaux contenus (bons comme mauvais) sont constamment mis en ligne. »

Pour remédier à la situation Google explique qu’il modifie souvent son algorithme, mais que les changements sont tellement minimes que personne n’y prête attention. Or cette fois ci, toujours selon le géant de l’internet, cette modification affecterait plus d’un résultats sur dix (11.8% des requêtes traités par le moteurs de recherches).
Cette nouvelle méthode de classement consiste à récompenser les sites de qualité en leur offrant un meilleur classement. A contrario « les sites de mauvaise qualité, qui sont à faible valeur ajoutée pour les utilisateurs, qui copient le contenu d’autres sites Web ou tout simplement les sites qui ne sont pas très utiles » verront leur classement réduit. Cela consiste, toujours selon Google, à « un grand pas dans la bonne direction qui améliore sensiblement la qualité des pages de résultats de recherche ».
Malgré tout ça, Google assure ne pas s’être servit de l’extension Personal Blocklist (pour Google Chrome) distribuée une semaine avant. En effet, cette extension permet à l’utilisateur de bloquer l’apparition d’un site dans les résultats de recherche Google. Les informations sont ensuite envoyées à Google qui a d’ailleurs comparé que 84% des sites bloqués par les utilisateurs se retrouvaient affectés dans le nouveau classement.
Cette modification significative de l’algorithme est d’abord disponible pour la version Américaine du moteur de recherche, et elle serra au fil du temps élargie au reste du monde.
Personnellement, mon avis sur le sujet reste pour l’instant très mitigé… Même si tout ça part d’un bon fond (les fermes à contenu étant une plaie pour la recherche internet), Google prend l’initiative de se positionner en arbitre suprême, seul juge du mérite ou non d’un site internet… Cela va tout bonnement à l’encontre de la neutralité du web que Google dit défendre ardemment et une solution proche des utilisateurs aurait été à mon sens plus appropriée qu’un ensemble de calcul mathématiques… C’est pourquoi je préfère attendre tout simplement quelques mois pour voir de quelle manière le référencement des sites internet va évoluer par la suite.
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Google change de look !

La nouvelle interface du site Google 
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Le plus célèbre moteur de recherche s’est refait une petite beauté ! Sa version américaine du moins… Rien d’extravagant bien sure, on connait tous Google : Simple, mais efficace !
La barre de navigation qui orne la plus part des outils de recherche de Google (Google web, Google images, Google news…) a subit un petit lifting et a vu son design légèrement retravaillé !

Fini les moches liens soulignés de leur couleur atypique qu’on trouvait avant, aujourd’hui place à l’esthétique, le vrais ! On trouve toujours les mêmes liens, mais ces derniers ne sont plus soulignés et adoptent cette fois ci une couleur bleu beaucoup plus vive. Ils sont conditionnés dans de petites cases qui se grisent lorsque l’on passe le curseur dessus et les liens « iGoogle » et « déconnexion » ont était supprimés. Le lien menant aux paramètres du compte a quant à lui était remplacé par une roue dentée (comme sur Android). L’affichage en haut à droite de l’adresse e-mail du compte connecté a aussi était supprimé, au profit du nom et prénom de l’utilisateur. Bien sur, se déconnecter ou voir l’adresse e-mail associée à son compte restent toujours possible ! Il suffit de clicker sur la petit flèche située à coté du nom/prénom.

Autre nouveauté, l’apparition d’une nouvelle « barre » dans l’interface. Discrète, mais nouvelle quand même ! Elle se place en haut des fameux liens dont je viens de vous parler et elle est d’un bleu très limpide, qui s’opacifie au niveau du service Google en cours d’utilisation (voir capture d’écran ci jointe). Fait surprenant, le service Google Vidéo, à l’instar de ses confrères, n’a pas bénéficier de ce petit lifting…

Cette nouvelle interface est apparemment compatible avec tous les navigateurs*, mais n’est malheureusement pas encore disponible pour les internautes français (seulement disponible pour la version américaine du site).

* Navigateurs testés :


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Google dénonce les pratiques de Microsoft !

L’affront débutait il y a quelques mois… Il y a quelques jours, il continuait encore ! Mais aujourd’hui c’est Google, semblerait-il, qui obtient une belle victoire sur Microsoft ! En effet Amit Singhal a publié sur le blog du groupe internet un article qui met légèrement a mal la firme de Redmond !
C’est l’occasion pour moi de revenir sur toute cette histoire, rien que pour vous bien sûr !

On a tous un jour mal orthographié un mot au cours d’une recherche sur Google ! Tous comme nous sommes, nous avons tous déjà eu à faire au correcteur orthographique du moteur de recherche, le fameux : « Essayer avec cette orthographe : … » suivit des deux résultats les plus pertinents de la recherche dûment corrigée.
Bien que l’histoire soit vieille comme le monde, les choses sérieuses commencèrent cet été, lorsque Google décida d’analyser les résultats de recherche sur la tarsorrhaphy (une lourde et rare opération des paupières). Pour se faire, les ingénieurs du géant de l’internet ont tapé sur leur moteur de recherche la requête suivante : « torsorophy ». Le moteur de recherche de Google a alors proposé une version corrigée, ainsi que les deux liens les plus pertinant pour répondre à cette même version corrigée de la requête. Jusqu’ici, rien d’extraordinaire…
Et pourtant ! Deux semaines plus tard le moteur de recherche made in Microsoft (pas entièrement apparemment…) Bing, qui a l’époque ne contenait pas de correcteur orthographique, affichait lorsque que l’on taper « torsorophy » le lien du premier résultat de la requête version corrigé qu’affichait Google !

En gros, si vous tapiez « torsorophy » sur Google, ce dernier vous corrigeait le mot et vous proposait un lien vers l’article de Wikipedia relatant de la « tarsorrhaphy ». En revanche, si vous tapiez « torsorophy » sur Bing, ce dernier vous renvoyait directement sur l’article de Wikipedia traitant de la « tarsorrhaphy » alors que Bing ne disposait même pas d’un correcteur orthographique !!!

Cet incident a donc mit la puce à l’oreille des ingénieurs de Google qui ont d’ailleurs remarqué dans les mois qui suivirent « que les URL des résultats de recherche Google apparaissaient plus tard dans Bing avec une fréquence accrue pour tous les types de requêtes : les requêtes populaires, les requêtes rares ou inhabituelles et les requêtes mal orthographié. Même les résultats de recherche que nous considérons comme des erreurs de nos algorithmes ont commencé à apparaître sur Bing ». Google a alors décidé de faire passer un test à Microsoft et son moteur de recherche Bing, afin de vérifier (prouver ?) si ce dernier trichait réellement en copiant purement et bêtement les résultats de recherche la firme de Mountain View.

Google a crée une centaine de requête plus ou moins incohérentes et leur a associé à toute un lien vers un site qui n’avait absolument rien à voir avec la dite requête. Des requêtes qu’un utilisateur n’aurait jamais eu le besoin ni même l’idée de taper pour quelconque raison. Par exemple, pour « hiybbprqag » Google renvoyait l’internaute vers un site concernant l’opera de Los Angeles.

Google affirme que Microsoft réussit à plagier ses résultats grace à Internet Explorer (qui, rappelons le, est utilisé par près d’un internaute sur deux) ainsi qu’à la barre d’outils Bing, le tout à l’aide de leur fonction respective qui permettent d’envoyer des donnés à Microsoft :
  • La fonction Site Suggérés pour le navigateur Internet Explorer
  • Le programme d’amélioration de l’expérience utilisateur pour la barre d’outils Bing
Pour le prouver, et toujours dans la continuité du « test », 20 ingénieurs de chez Google se sont dotés d’un ordinateur avec Internet Explorer et la barre d’outils Bing installés et activés dessus. Après quoi ils ont tous commencé à taper sur Google les différentes requêtes farfelues crées pour l’occasion. Et là… Magie ! Quelques semaines plus tard Bing affichait exactement le même lien comme premier résultat que celui de Google, pour les mêmes requêtes toutes plus incompréhensibles les unes que les autres !
Le tout en image :

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Amit Singhal fini son billet en dénigrant Microsoft et son moteur de recherche, et demande à ce que cette pratique soit stoppée. Je vous ai traduit la fin du billet :
Bing ressemble de plus en plus à une version bon marché, incomplète et obsolète de Google. Chez Google, nous croyons fermement en l’innovation et nous sommes fiers de la qualité de nos outils de recherche. Des milliers de personnes se sont investis des années dans le développement de nos algorithmes de recherche, parce que nous voulons que nos utilisateurs obtiennent la bonne réponse à chaque fois qu’ils recherchent quelque chose, et ce n’est pas facile. Nous nous réjouissons qu’il y ait des concurrents à la recherche de nouveaux algorithmes (de véritables algorithmes qui reposent sur l’innovation, et non sur les résultats de recherche recyclé à partir d’un concurrent). Donc, pour tous les utilisateurs à la recherche des resultats les plus authentiques et pertinents, nous vous invitons à venir directement sur Google. Et pour ceux qui se demande ce que nous attendons de tout ça, la réponse est simple : nous souhaitons que cette pratique cesse.
La firme de Redmond n’a, forcement, pas apprécié l’affront et c’est Harry Shum (cadre chez Microsoft) qui se charge de répliquer sur le blog officiel de la société :

« Ce qu’on a vu dans l’article d’aujourd’hui est un coup monté digne d’un roman d’espionnage réalisé pour générer des aberrations dans le classement de résultats de recherches improbables. […] Une petite partie des données transmises provient de nos utilisateurs qui ont choisi de les partager de manière anonyme quand ils naviguent sur le Net dans le but de nous aider à améliorer l’expérience de tous les utilisateurs. Pour être clair, nous apprenons de l’ensemble de nos utilisateurs. »


Je vois, ça explique tout voyons ! Personnellement, j’ai connu plus convaincant… 




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Google, vraiment en lutte contre le téléchargement illégal ?

En décembre 2010, c’était chose dite ! Google annonçait qu’il allait mettre en place une série de mesure visant à lutter contre le piratage et le téléchargement illégal de contenu protégé par le droit d’auteur. Aujourd’hui, c’est chose faite ! D’abord avec la simplification et l’accélération (à 24h) de réponse du processus de signalement de contenu illégal apparaissant dans les résultats du moteur de recherche, puis ces derniers jours avec de nouvelles restrictions imposées à son service Google Suggest (qui fait automatiquement remonter à l’utilisateur les requêtes les plus populaires/pertinentes au fur et à mesure de la saisie).

Cette pratique n’est pas nouvelle chez le géant du net, en effet les termes liés à la pornographie sont par exemple exclus de Google Suggest depuis des années déjà. Concrètement, lorsque l’utilisateur commence à taper sa recherche, si elle correspond à un contenu filtré, aucune suggestion ne lui parviendra. L’utilisateur doit alors s’acquitter de la lourde tache d’appuyer sur la touche Entré pour voir les résultats de sa recherche s’afficher sur son écran. Même principe pour Google Instant, qui affiche automatiquement les résultats de recherche en même temps que la saisie de l’internaute.

Aujourd’hui cette « censure » s’applique également aux termes « RapidShare », « Bittorent », ou même « MegaUpload ». Pourtant ces sociétés hébergent et/ou distribuent également du contenu parfaitement légal ! Méritent ils d’être classifiés, et surtout défavorisés (vis à vis de la concurrence) de la sorte à cause de l’utilisation qui est faite de leurs services qui sont, à la base, tout ce qu’il y a de plus légaux ? C’est d’ailleurs sur cette base que ces mêmes sociétés jugent l’initiative de Google « légitime, mais démesurée ».

« Nous respectons le droit de Google de concevoir ses algorithmes de manière à fournir des résultats appropriés à ses utilisateurs. Ceci dit, le nom de notre entreprise est unique, et nous sommes convaincus que toute personne qui tape les 5 ou 6 premières lettres du nom mérite d’avoir la même facilité d’accès que toute autre entreprise »

Qui plus est, la liste des termes filtrés par le moteur de recherche semble légèrement bâclée, ou alors fortement arbitraire… Effectivement, alors que MegaUpload est bloqué, son service d’hébergement de vidéo et de visionnement en streaming MegaVidéo fait quant à lui toujours partie des résultats affichés par Google Suggest. De plus, bien que Google arrête d’afficher des suggestions dès que l’on tape « Megau… », il n’en est rien si l’on entre le terme « Megaupload «  (en entier, et suivit d’un espace) ! Pire encore, « The pirat bay » qui est l’un des plus célèbre site de partage de liens bittorrent n’est lui aussi pas filtré !

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Google Shopping en détails !

Après avoir analysé Google TV (voir notre article), lançons nous maintenant à l’assaut du tout dernier produit Google arrivé en France : Google Shopping ! Google Shopping était déjà disponible aux Etats Unis, en Angleterre, en Australie et en Allemagne avant de débarquer enfin en France.

A noter que le service s’est pendant quelques jours d’abord appelé Google Achats, avant d’être renommé en Google Shopping comme chez nos voisins Allemands. Ceci laisse penser que ce nom servira pour tous les pays Européens qui bénéficieront du service. En effet, dans les pays anglophones il se nome Google Product Search (ou tout simplement Google Product).



Google Shopping se dote d’une page d’accueil fidèle au groupe : Simple, mais efficace.
Elle ressemble d’ailleurs à s’y méprendre avec celle du moteur de recherche, à l’exception de « quelques idées » qui sont disposées en dessous de l’habituel champ de recherche, et séparées en cinq grandes catégories :
  • Les loisirs numériques
  • Le bureau
  • La cuisine
  • La maison
  • La mode
Google Shopping permet à l’utilisateur de trouver un produit et de comparer les prix de chez bon nombre de commerçants tels que :
Voir la liste :
  • Rue du commerce
  • Boulanger
  • Top Achat
  • Apple Store
  • Galerie Lafayette
  • Darty
  • M6 Boutique
  • Yoox.com
  • 3 suisses
  • La Redoute
  • Fnac
  • DocteurDiscount
  • CDiscount
  • Misco.fr
  • Kiabi
  • Ubaldi.com
  • LDLC.com
  • BUT
  • 2xmoinscher.com
  • MisterGoodDeal
  • Spartoo

Lors d’une recherche, les résultats apparaissent d’abord en fonction de leur pertinence. Par exemple, lorsqu’on recherche « Google » le premier résultat de la liste est un Nexus One, suivi en deuxième position d’un stylet compatibleTous ces résultats peuvent également être triés par ordre croissant ou décroissant en fonction du prix.

Comme le rappelle Google dans ses conditions d’utilisation de Google Shopping«
  • Les offres sur Google Shopping excluent également les billets, véhicules, services et produits vendus avec des forfaits (téléphones mobiles, par exemple).
  • Les offres de produits nécessitant une adhésion à un club ou à un site Web sont également interdites.
  • Les produits et pages de destination doivent indiquer les prix dans une devise prise en charge. »
Pour enregistrer un produit sur Google Shopping, le vendeur doit dans un premier temps se rendre sur cette page, puis suivre les indications données. Il lui serra alors demandé d’entrer des informations (sur son « entreprise », sur lui et bien évidement, sur le produit qu’il a à vendre) par le biais de Google Merchant Center. Le tout étant entièrement gratuit, Google ne prend pas de commissions sur les ventes.

Le seul petit défaut que je trouve à ce service, c’est que les filtres de recherches ne sont pas assez poussés à mon goût…  Notons, pour revenir aux « quelques idées » que Google Shopping vous propose en page d’accueil, que si l’on clique sur l’une d’entre elle on remarque que ce n’est en fait qu’une simple recherche avec comme mot clef le genre de produit sur lequel on vient de cliquer.
Par exemple si vous cliquez sur l’écran de télévision, le lien qui s’ouvrira serra juste les resultats de la recherche « Téléviseurs ». De plus, les filtres proposés sont les mêmes pour toutes les catégories de produits, à savoir uniquement choisir entre une fourchette de prix, ou choisir un vendeur en particulier.

Je trouve ça dommage, Google aurait pu se pencher un peu plus sur le problème et proposer des filtres en fonction de l’idées sélectionnée, comme « taille » ou « type d’écran » toujours pour les téléviseurs par exemple…





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